EINTRACHT, ZWIETRACHT – AKTUALITÄT DES DEUTSCH-FRANZÖSISCHEN KUNSTMARKTES
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EINTRACHT, ZWIETRACHT – HISTORIE UND AKTUALITÄT DES DEUTSCH-FRANZÖSISCHEN KUNSTMARKTES
Martin Guesnet wird die Geschichte, die Aktualität und die Aussichten des deutsch-französischen Kunstmarktes in Zeiten von Unilateralismus und Brexit beleuchten.
Drei Deutsche – Paul Cassirer, Alfred Flechtheim und Henry Kahnweiler – revolutionierten den Kunsthandel im Paris des beginnenden 20. Jahrhunderts. Insbesondere das Schicksal des Letzteren illustriert die dramatischen deutsch-französischen Beziehungen dieser Zeit. Nach dem 2. Weltkrieg begann der Siegeszug der amerikanischen Kunst. Deutschland fand einen neuen Verbündeten. Anfang der 80er Jahre nahm die Bundesrepublik quasi nicht mehr wahr, dass es auch eine Kunstszene in Frankreich gab. Nach dem Mauerfall gewann das dynamische Berlin wieder an Attraktivität und viele französische Künstler, Kuratoren und Sammler zog es dorthin. Aber neue Marktanteile gewannen weder Frankreich noch Deutschland.
Heute repräsentieren diese ehemaligen Hochburgen des Kunsthandels nicht einmal mehr 10% des Weltkunsthandels. Wäre es nicht an der Zeit, sich wieder auf die Kraft dieser starken Kulturachse zu besinnen?
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CONCORDE, DISCORDE – Historique et actualité du marché de l’art franco-allemand
Martin Guesnet éclairera l’histoire, l’actualité et les perspectives du marché franco-allemand à l’aube du Brexit et de l’Unilatéralisme.
Trois Allemands – Paul Cassirer, Alfred Flechtheim et Henry Kahnweiler – ont révolutionné le marché de l’art parisien au début du siècle dernier. En particulier le destin du dernier illustre de façon tragique les relations franco-allemandes de l’époque. Dans l’après-guerre débute la marche triomphante de l’art américain. L’Allemagne Fédérale s’est trouvé un nouvel allié. Au début des années 80 les conservateurs et collectionneurs allemands ne percevaient quasiment plus qu’il existait une scène artistique française. Après la chute du Mur, la dynamique ville de Berlin gagna en attractivité et nombre d’artistes, conservateurs et collectionneurs français s’y établirent. Mais ni la France ni l’Allemagne n’en tiraient profit sur le marché de l’art.
Aujourd’hui, ces anciens haut lieus du marché de l’art ne représentent même plus 10 % du marché de l’art mondial. Ne serait-il pas temps de se rappeler du rayonnement de cet axe culturel ?